RUTA A LA CIMA DEL MUNDO / Por Camelia LIPAROTI |
DE RUTA A LA CIMA DEL MUNDO con Camelia LIPAROTTY BIENVENIDO A LA TIERRA DE LOS DIOSES. .-Subir con un Quad al Tibet es la Máxima Aventura que un@ puede soñar. Sin embargo este sueño casi imposible se nos permitió a través de MAO XIAN organizado por GOES. .-Bienvenido a la tierra de los Dioses.
.-Seguro que si dices a tus amigos que vas al Tibet, sus ojos se iluminan. El Tibet es el Santo Grial, un destino con el que todo el mundo sueña, pero que a la vez parece fuera de su alcance y bastante complicado. Ninguna Región del Mundo puede tener más cerca el Cielo y ello el Paraíso. Pero con un punto de vista Espiritual y Geográfico. .-Cuando nuestro avión aterrizó en Lhasa, capital del Reino del Tibet, a 3.650 metros sobre el nivel del mar tras una parada en Shanghai, tomamos la medida completa de lo que es la Cordillera del Himalaya. Una Cordillera a la que se la define literalmente como “LA MORADA DE LA NIEVE”. HIMALAYA se extiende por 2.400 kilómetros de largo y entre los 250 y 400 kilómetros de ancho. Con no menos de 14 Picos con más de 8.000 metros, incluyendo por supuesto el Everest, el techo del Mundo. Como dijo acertadamente Michel Auriard “ES BRUTAL” , pero es lo que se siente tras 30 horas de viaje y cuando se formó la tropa con una docena de personas para lanzar un asalto de 5 días por las pistas Tibetanas.
COMIENZA EL VIAJE DE NUESTRA VIDA. .-A una altitud de 3.650 metros y con el reto de cruzar un paso a 5.300 metros, nuestras maquinas GOES apuntan alto. La mecánica de inyección con que vienen equipados, vamos a hacerlos caminar sin una mueca de dolor por uno de los países donde pocos turistas se aventuran y mucho menos en Quad. La diversión se encuentra a cada vuelta, en cada esquina, con los picos nevados a la vista. En las llanuras también se puede comprobar el rendimiento y la resistencia de los 725 y no tenemos ningún problema. No hay una competición para ver la fuerza de las maquinas. .-Conducir en el Tibet es enfrentarse a una altitud que afecta a los organismos. Deben medirse los esfuerzos, no hay que emocionarse. En el Tibet te enfrentas a caminos escarpados y rocosos que se aferran a las montañas. Dunas de más de 4.000 metros y lagos que agrandan la maravilla que nos muestran. Conducir en el Tibet es satisfacer la increíble amabilidad y hospitalidad Tibetana. Una sonrisa, una mano amiga, una gran curiosidad mutua. .-A pesar de la barrera del idioma, el quad parece la mejor máquina de transmisión entre las dos culturas. Varias paradas en el centro de los Pueblos nos han permitido cumplir con pequeños paseos a los habitantes. .-En el techo del mundo, la visión de un pico de más de 7.000 metros de altitud, da la sensación de vivir un momento raro y por lo tanto valioso. Para conducir en el Tíbet, hay que ser humilde, con el rostro fijo en la naturaleza primeramente y frente a la espiritualidad que llena cada momento. El quad, con su presencia casi invisible, con una cara amable se integra perfectamente en el paisaje de otros tiempos. .-En los campos y a lo largo de nuestro camino, los Yaks se utilizan todavía a menudo para el trabajo agrícola, pastan, o están libres en enormes campos. .-Rutear en el Tíbet es el mayor regalo que puedes dar a tu quad, con emociones fuertes, pero también a nivel personal y ahora toca volver. Tendremos dulces sueños en el largo viaje que nos lleva de vuelta en Francia ... FOTOS: Camelia Liparoti y Potman http://quadssvmag.com/blog/2014/05/20/tibet-roule-sur-le-toit-du-monde/
Tibet : on a roulé sur le toit du monde .-Poser les roues d’un quad au Tibet est une aventure ultime autant qu’un moment de grâce. Ce qui tient presque d’un rêve inaccessible nous a été permis via le Mao Xian organisé par Goes. Bienvenue au pays des Dieux… .-Dites à vos amis que vous partez au Tibet et vous verrez leur regard s’illuminer. Le Tibet, c’est la quête du Graal, une destination dont tout le monde rêve, mais qui semble hors d’atteinte et un peu compliquée… Aucune région ne peut vous rapprocher autant du ciel, -et du paradis pour les gentils-, tant d’un point de vue spirituel que géographique. Et lorsque notre avion se pose à Lhassa, la capitale du royaume du Tibet, à 3 650 mètres d’altitude, après une escale à Shanghai, nous prenons toute la mesure de l’Himalaya. Se définissant littéralement comme « La demeure des neiges », l’Himalaya s’étire sur 2 400 kilomètres de long et entre 250 et 400 kilomètres de large. Pas moins de 14 sommets dépassent les 8 000 mètres d’altitude dont, bien sûr, l’Everest, le toit du monde. Comme le disait si bien Michel Audiard : « c’est du brutal » ! C’est ce que l’on ressent après 30 heures de voyage, au moment où la troupe d’une douzaine de personnes se forme pour se lancer à l’assaut, 5 jours durant, des pistes tibétaines.
.-Le voyage d’une vie .-Avec un départ à 3 650 mètres d’altitude et l’ambition (réalisée) de franchir un col à 5 300 mètres, le ton est donné : Goes vise haut. Et on loue le dieu Injection d’avoir équipé nos Goes pour cheminer sans sourciller dans des contrées où très peu de touristes se sont risqués, encore moins des quads, pour le simple plaisir de chevaucher une mécanique ludique. L’ADN du Mao Xiang cher à Ghislain Guiot, son père spirituel, est justement de repousser les limites des hommes et des mécaniques à travers des raids hors du commun, qui marquent à jamais les esprits. Si le plaisir est au détour de chaque virage, avec une vision sur des sommets enneigés en ligne de mire, ce raid aura également permis de tester les performances et l’endurance des Goes 725 au guidon desquels nous n’avons rencontré aucun problème. Il n’y a pas que la compétition pour valider la solidité d’une machine… Pour l’anecdote, il aura fallu 10 jours de route à nos amis chinois pour convoyer dans des camions, nos quads jusqu’à Lhassa. .-Rouler au Tibet, c’est affronter l’altitude, qui influe forcément sur les organismes. Il faut donc mesurer ses efforts, ne pas s’énerver, mais s’économiser, comme le veut le dicton : « qui veut aller loin (haut) ménage sa monture ». Rouler au Tibet, c’est affronter des tracés escarpés, rocailleux, accrochés à la montagne. Dunes à plus de 4 000 mètres et lacs sont même au programme, de quoi ajouter à notre émerveillement. Rouler au Tibet, c’est aller à la rencontre de l’incroyable gentillesse et hospitalité tibétaine : un sourire, une main tendue, beaucoup de curiosité réciproque… Malgré la barrière de la langue, la communication fonctionne et le quad apparaît comme la meilleure courroie de transmission. Plusieurs arrêts au cœur de villages nous ont permis d’offrir des tours de manèges grandeur nature dont les habitants reparleront sans doute longtemps. .-Roulez au Tibet, c’est l’impression réelle de surfer sur le toit du monde et la vision d’un sommet à plus de 7 000 mètres vous donne le sentiment de vivre un moment rare et donc précieux. Rouler au Tibet, c’est faire preuve d’humilité, face à la nature tout d’abord, face à la spiritualité omniprésente et le quad, avec son empreinte quasi invisible, sa bonne bouille sympathique s’inscrit parfaitement dans ce paysage d’un autre temps. Dans les champs qui longe notre piste, les yaks sont encore très souvent utilisés pour les travaux des champs quand ils ne paissent pas, libres dans d’immenses pâturages… .-Roulez au Tibet est le plus beau des cadeaux que votre quad puisse vous offrir, pour des émotions fortes, des clichés plein la tête. De quoi faire de beaux rêves pour le long trajet qui nous ramène en France…
Photos: Camelia Liparoti et Potman http://quadssvmag.com/blog/2014/05/20/tibet-roule-sur-le-toit-du-monde/
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